À travers Michel BARNIER, son homme de paille, à qui il a dicté son carnet de route, MACRON continue à détruire la France, bien souvent avec la protection du RN.
Malgré les résultats des élections, les minoritaires, ceux qui ont entrepris la casse du social dans notre pays, sont toujours au pouvoir. Ils continuent à matraquer le pouvoir d’achat des familles de France et à part quelques mesurettes, laissent libre cours à l’appétit des plus riches, à qui on continue a faire des cadeaux (50 milliards en 7 ans).
Les Français ont voté pour plus de justice sociale et ils se trouvent confrontés au programme MACRON-BARNIER, avec un air de déjà vu, c’est à dire ;
– augmentation du prix de l’électricité
– augmentation du prix du gaz
– des soins et des médicaments moins remboursés, des journées d’arrêt maladie non indemnisées qui vont se répercuter par l’augmentation des complémentaires pour ceux qui en ont,
– les retraités qui perdront encore et toujours plus de pouvoir d’achat.
– etc…etc..j’en passe et des meilleures, leur liste est longue de leurs ignobles astuces à taper dans le porte-monnaie de ceux qui n’arrivent plus à boucler les fins de mois.
Il ne faut pas oublier aussi les 1228 milliards accumulés par les 500 plus grandes fortunes de France, dans lesquels on peut aussi taper.
Vous voyez, pour peu que l’on soit ni de droite, ni d’extrême droite, on arrive toujours à trouver des solutions sans détrousser une nouvelle fois des plus démunis.
Pendant ce même temps de restriction imposé autoritairement, ils ont tenté d’augmenter les budgets des Assemblées et de l’Élysée, il est vrai que l’on est jamais si bien servi que par soi-même. Mais cette fois, il y a eu assez d’opposition pour repousser cette honteuse décision..
Après la pandémie du COVID et le manque de moyens pour y faire front, afin de rendre la France moins dépendante, MACRON avait manifesté sa volonté de relancer l’industrie pharmaceutique. Mais une nouvelle fois les actes n’ont pas suivi les promesses. Résultat : la production du paracétamol risque de passer aux mains de fonds de pensions américaines, avec toutes les incertitudes pour l’avenir.
Pourtant comme le dit le slogan de la CGT « de l’argent il y en a dans les caisses du patronat », mais aussi dans les paradis fiscaux. Il faudra bien qu’un jour les Français fassent rendre gorge au capital de tout cet argent qu’ils ont volé au monde du travail.
-//- Désiré -//-